Best Western Of Walterboro

Rapport qualité prix excellent, Petit déjeuner très bon et piscine propre. Proximité des restaurants aux alentours c'était parfait!! Les lits étaient confortables et la chambre très propre. Le personnel est très sympathique et courtois. Excellent choix, nous le recommandons aux petites familles en route vers la Floride.

Un hôtel qui est bien situé le long de la 95, très bien tenu, avec un personnel courtois et attentif. Un bon petit déjeuner et la proximité d'un Ruby Tuesday, ce qui nous évite de prendre la voiture pour le dîner, font partie des avantages de cet hôtel. De plus, comme les chiens sont admis, cela nous permet de voyager avec notre petite chienne.

Accueil à travailler mais déjeuner bon et hôtel confortable. La piscine est réellement idéal pour les enfants et est très conviviale. Le service du personnel d'emtretien est impeccable toutefois les gens à la réception devraient recevoir des cous sur l'approche client surtout les gens qui travaillent en soirée

Situé sur l'A81, nous étions de passage, sans attentes particuliere, hôtel propre, peu de bruit, tout fonctionnait bien. Le tout a répondu à nos attentes pour 2 voyageurs de passage. Le déjeuner inclus dans le prix facilite le départ.

Hôtel facile d'accès de l'autoroute. Chambre propre et confortable. Il n'y a pas de couloir intérieur, accès aux chambres par l'extérieur seulement. Chambre de bain petite. Il y a un restaurant Ruby Tuesday et McDonald sur le site. Ce secteur de Walterboro est vieux.

Best Western, Walterboro, Caroline du Sud, USA. Alors qu'on effectuait un long périple sur l'I-95 à travers les étendues sauvages et marécageuses de Caroline du Sud, l'artiste pour lequel je travaille a décidé de faire une halte au Best Western de Walterboro, sur lequel il avait lu des commentaires positifs sur internet. Mais quant à savoir s'ils étaient fondés, c'est une autre histoire. Motel: on a détesté. Cet endroit sinistre et ringard, qui donne la chair de poule, était littéralement emmuré au milieu de boutiques de feux d'artifices de ploucs et de magasins qui avaient l'air d'être souvent cambriolés. Un paumé, de toute évidence shooté au crach ou quelque chose comme ça, accostait tous ceux qui se trouvaient sur le parking de l'un de ces magasins et criait à tout le monde : "Eh! T'aurais pas 20 cents?" On a eu vite fait de lui trouver un surnom: le "Comité d'Accueil de Walterboro". Quant au motel, il était délabré de part en part, même si la réception avait été retapée un peu et avait l'air plus récente. Le lustre de la réception et le sol recouvert d'une fine pellicule de marbre étaient vraiment surfaits et faisaient penser à ce vernis de luxe ringard et bas de gamme des palais de Saddam. Au petit déjeuner-buffet, qui était compris, nombre de clients se retrouvaient les pieds momentanément collés au sol, quelqu'un ayant renversé du sirop d'érable par terre, sur une surface plus grande que même des animaux domestiques peuvent faire comme dégâts, et ça restait là par terre si bien que toute la pièce était bientôt couverte de traces de pas collants - et tout ça sous les yeux d'une employée en pause, affalée sur le canapé près de la télé, qui ne faisait rien pour y remédier. Ce problème pourtant bien visible étant négligé, inutile de dire que des petits détails sautant moins aux yeux, genre plus de serviettes ou TOUTES les tables de libres pleines de miettes de pain ou de traces de tasses chaudes dues à la condensation, restaient tels quels. La "préposée au petit déjeuner", un modèle de "parfait service client", couverte de bijoux voyants genre ghetto, n'a pas daigné se lever une fois de son canapé, préférant discuter bruyamment et en proférant des obscénités à l'occasion avec sa collègue. Rien de tel que des employés en uniforme pimentant leurs petites discussions du mot s-xe à portée d'oreilles des clients, pour se sentir choyé et traité en client de marque, n'est-ce-pas? Je me levais déjà pour aller protester auprès de la responsable de l'accueil quand j'ai réalisé que c'était en fait avec elle que notre feignasse discutait, car elle avait un sourire amusé, donc j'ai laissé tomber. A notre arrivée, on n'a pas eu à faire la queue. Cet hôtel n'avait pas l'air d'avoir un quelconque problème de sous-effectif à une heure de pointe, mais bien plutôt de négliger le client de manière régulière et naturelle. Après tout, si à l'accueil on encourage ce laisser-aller en participant à la conversation avec le tire-au-flanc de service, eh bien ça fait encore plus "hôtel de grande classe", n'est-ce-pas? On s'était arrêtés à cet hôtel en allant dans le sud à Melbourne pour le festival artistique de Floride 2008, mais c'est la première et la dernière fois. Grâce à cette expérience, on a désormais une nouvelle blague entre nous: à chaque fois qu'il est question d'un endroit minable qui vous donne la chair de poule, on appelle ça "un Walterboro". Ce motel pourrait (éventuellement) faire l'affaire pour des hommes célibataires, qui se moquent d'avoir un environnement pas trop raffiné (par exemple des artisans ou des soudeurs qui ne se sont pas changés) et qui ont des permis de ports d'armes cachées. Quant aux "personnes sensibles" et à la gente féminine, elles feraient mieux de continuer leur route jusqu'à la ville voisinne de Savannah .